Pour qui et Pourquoi ?
Qui ?
L’ostéopathie s’adresse à tous : nourrissons, enfants, adultes, personnes âgées, sportifs et femmes enceintes.
Il faut toutefois respecter quelques contres indications qui sont principalement les fractures et les traumatismes crâniens récents, mais aussi toutes les maladies en phase aiguë.
Pourquoi consulter ?
- rôle curatif : après une chute, un accident de la route, une entorse…tout traumatisme sans fracture.
- rôle palliatif : l’ostéopathie n’a pas d’action sur un organe ou une structure gravement détériorée, elle ne guérit pas l’infarctus, les cancers, les infections… mais elle peut avoir une action sur les conséquences de ces pathologies, en particulier sur la douleur, par libération des tensions des structures environnantes.
- rôle préventif : des traumatismes, physiques ou émotionnels, anciens ou passés inaperçus sont susceptibles de provoquer des séquelles douloureuses même plusieurs années après. L’ostéopathe fait prendre conscience à chacun qu’il est responsable de son capital santé qu’il peut préserver par un suivi ostéopathique régulier.
En effet « mieux vaux prévenir que guérir », et il est parfois plus compliqué et difficile de traiter quelqu’un qui souffre beaucoup.
Quelques exemples d’indications :
- le mal de dos,
- chez la femme enceinte : sciatique, nausées, jambes lourdes, certains troubles de la conception, préparer le corps avant l’accouchement, l’aider à récupérer après…
- chez les nourrissons et les enfants : les troubles du comportement (hyper ou hypoactivité, mauvais sommeil, retards de motricité, pleurs anormaux…), les troubles de la digestion (difficulté de succion, reflux, coliques…), les troubles O.R.L (sinusites rhinites, otites…), torticolis, asymétrie du crâne,…accompagner l’enfant dans les étapes de son développement.
- chez les sportifs : en prévention, pour améliorer la récupération, après une épreuve importante, suite à un traumatisme…
Il est aussi intéressant de travailler en collaboration et en complémentarité avec d’autres traitements comme par exemple :
- les suites opératoires (malpositions, cicatrices douloureuses…)
- la rééducation post traumatique (la rendre plus efficace et plus durable)
- l’orthodontie.